25 novembre 2003

Le Snes-FSU dans l’Académie

Compte rendu de l’audience avec W.PSONKA DRH de l’Académie de Lille

Suite au courrier envoyé par Jean-Paul HENNION et Jean-François LAROSIERE, au Recteur d’Académie, et la demande d’audience rectorale, concernant les problèmes de la documentation dans l’Académie de Lille , courrier qui suivait et la réunion de rentrée, et l’audience avec Monsieur Bernard MUTELET, IPR Vie Scolaire, le Recteur de l’Académie nous a répondu qu’au vu d’un calendrier chargé c’est Monsieur W. PSONKA , DRH, qui recevrait la délégation du SNES lundi 24 novembre 2003 après midi. Cette audience se déroulait dans le cadre de celles accordées par l’autorité rectorale aux responsables du SNES.

Cette audience était conduite par Christian CHAMPIRE secrétaire académique adjoint du S3. Il était accompagné de Brigitte LEVERD et Didier COSTENOBLE. Jean-François LAROSIERE représentait la documentation.

Compte tenu de ce qui avait été dit lors de la préparation et de la nature de l’audience l’accent a été mis sur les questions pédagogiques concernant la documentation et notamment sur le préjudice immense provoqué par la suppression des réunions de district. (cf la pétition à ce sujet). Le « sentiment d’abandon » dont sont victimes les documentalistes a été exprimé ainsi que la colère contre le retard pris par une académie autrefois considérée comme une académie de pointe pour la doc.

M. PSONKA a indiqué comprendre notre souci quant aux réunions de district. Il indique que les FIL ( formations d’Initiative Locale) permettraient de répondre à notre souci, « de relever le défi » de « recréer une dynamique ». Sans exclure nécessairement les FIP, nous avons indiqué que la question du coût, pour les réunions de district, n’était pas nécessairement un obstacle et que leur rétablissement est indispensable. Nous intervenons à nouveau auprès de l’IPR et des services de la DAFOP en ce sens.

A noter au cours de cette entrevue que C. CHAMPIRE a indiqué au représentant du Recteur que l’Académie n’augmentait pas ses capacités d’accueil alors que nombre de postes ne sont pas pourvus en titulaires à l’issue de l’intra. Ceci traduit la place réduite pour la documentation dans les préoccupations rectorales.

JF LAROSIERE