La situation de TZR est une situation subie ou un choix par défaut en l’absence de postes fixes. Les conditions de ces personnels, à l’image de l’ensemble de l’Education nationale et peut-être même encore plus, se dégradent très fortement (pouvoir d’achat, hausse des effectifs, dénaturation des missions, affectation hors discipline, pressions hiérarchiques…).
L’annonce de la décision unilatérale et arbitraire de la fusion des zones (de 14 à 6) à la rentrée prochaine était un première attaque (les TZR peuvent désormais intervenir sur des zones de 200 km² et les zones limitrophes, soit pour la plupart toute l’académie). L’intention de ne pas respecter les préférences émises par les personnels et la menace sur l’examen paritaire de leurs affectations en sont une autre.
Les personnels soussignés demandent
— la prise en compte des vœux de préférences pédagogiques ou géographiques émis par les TZR et permis par la note de service de mars 2011, ainsi que de l’ancienneté, avant la logique kilométrique et comptable
— le maintien d’un examen paritaire de leur affectation, quelles que soient les règles d’affectation retenues